Et que ne durent que les moments doux • Virginie Grimaldi

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╰☆ Résumé ☆╮

L’une vient de donner naissance à une petite fille arrivée trop tôt. Elle est minuscule, pourtant elle prend déjà tellement de place.
L’autre vient de voir ses grands enfants quitter le nid. Son fils laisse un vide immense, mais aussi son chien farfelu.
L’une doit apprendre à être mère à temps plein, l’autre doit apprendre à être mère à la retraite.
 
C’est l’histoire universelle de ces moments qui font basculer la vie, de ces vagues d’émotions qui balaient tout sur leur passage, et de ces rencontres indélébiles qui changent un destin.

✿ Mon avis ✿

Chère Virginie, 

Tu es la seule auteure à qui je parle au lieu d’écrire une chronique « standard ». Cela te rend spéciale à mes yeux. Tout aussi spéciale que chacun de tes livres. 

Cette année, une fois de plus, ton nouveau roman m’a complètement chamboulée. Il n’aura fallu que 37 pages pour qu’une larme perle au coin de mon oeil. Et je ne te raconte même pas le déluge lorsque j’ai tourné la dernière page… Je ne sais pas comment tu fais mais tes récits arrivent toujours à me parler. Plus que tous les autres livres que je lis (et j’en lis un paquet).

Cette année, tu as décidé d’écrire sur la maternité, l’amour que l’on partage pour et avec ses enfants et ce besoin de savoir sa progéniture à l’abri de tout ce qui peut arriver de mal et de mauvais sur cette terre. Est-ce une coïncidence si je te dis être justement enceinte de mon premier enfant, là maintenant… A croire que ton roman m’était destiné rien qu’à moi, future maman qui découvrira bientôt ce nouvel amour. 

Je me suis tellement identifiée à Lili que c’en fut presque douloureux. Je m’imaginais à sa place. Je me voyais vivre ce calvaire, toutes ces nuits passées à l’hôpital à prier pour que ce petit bout tienne bon. Les chapitres qui la concernait ont terriblement fait écho en moi. Quant à Elise… je pense que je me suis imaginée plus d’une fois être elle, plus tard, quand mon enfant aura décidé de quitter le nid doux que je suis occupée à lui préparer. J’ai aussi pensé à ma propre maman et à ce qu’elle devait ressentir maintenant que je ne vis plus à la maison. 

Oui, c’est certain, ce livre était le livre parfait pour moi et je te remercie de l’avoir publié maintenant. Je n’ai pas ris comme lors de ma lecture de Il est grand temps de rallumer les étoiles (jusqu’ici mon favori parmi toutes tes publications) mais qu’est-ce qu’il m’a fait trembler ton dernier roman. Trembler de peur face à tout ce qu’on ne peut pas contrôler lorsqu’un enfant entre en ligne de compte. Trembler d’espoir aussi. Mais surtout trembler d’amour pour tout ce que tes personnages représentent… et pour eux aussi quand même car ils m’ont fait passer un très bon moment. Un moment… si doux. 

Ton roman mérite amplement sa place de #1 des ventes et j’espère que beaucoup de mamans, de filles et de femmes le liront et lui feront honneur. Il rejoindra les favoris de ma bibliothèque dès que je l’aurai prêté à ma maman. 

Je te dis donc un grand merci pour ce récrit qui m’a profondément touché et que je n’oublierai pas de sitôt. Continue à partager tes aventures, tes peurs et des espoirs avec nous. Je pense qu’on sera nombreux à être au rendez-vous ! ❤ 

CHRONIQUE #582 – Juillet 2020 

2 réflexions sur “Et que ne durent que les moments doux • Virginie Grimaldi

  1. Merci beaucoup pour cette magnifique chronique, très touchante ; étant une maman plutôt sensible, je n’ose imaginer la lecture du livre… Tu m’as convaincue de l’ajouter à ma PAL.
    Très belle journée

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