Lecture Commune – Dune (Partie 1/7)

dune

Lecture Commune

Partie 1/7

Le Pocket N°7122, c’est le premier tome de Dune, un livre écrit par Frank Herbert en 1965. Premier tome d’une série qui en compte 6, il s’agit du « livre de science-fiction le plus vendu au monde » (selon les chiffres datant de 2003 sur wikipédia). Comme c’est un pavé de 900 pages (et qui date un peu), j’ai proposé une Lecture Commune pour qu’on puise se motiver à plusieurs et partager nos impressions au fil de la lecture. Si vous voulez en savoir plus (ou nous rejoindre), voici l’article où je présente le tout.

Nous avons choisi de diviser le livre en sept parties de façon à faire des petits commentaires pendant l’avancement de la lecture et à garder plus ou moins le même rythme de lecture. D’un commun accord, nous avons décidé de lire la première partie (du début du livre, jusqu’à la page 105) entre le 13 et le 17 août. Je vous fait donc part ici de mes impressions et commentaires sur cette première partie que j’ai déjà terminée.

Mes impressions

100 pages, ça passe rudement vite. J’ai à peine eu le temps de découvrir l’histoire, l’univers et les personnages principaux que nous voilà déjà à la fin de la première partie. J’avoue avoir été assez déboussolée au commencement de ce livre car on plonge directement dans un monde détaillé, précis et si étoffé qu’on s’y perd un peu. Le vocabulaire, surtout, m’a un peu posé problème. L’auteur invente des concepts, des mots, des langues et des noms de personnages si compliqué et originaux que j’ai eu du mal à m’y repérer. D’ailleurs, ce n’est pas pour rien (à mon avis) qu’il y a un lexique long de 35 pages en fin d’ouvrage pour aider les lecteurs à s’y retrouver. Cela aide mais c’est fastidieux à utiliser. En lisant les premières pages, on aurait presque envie de lire d’abord tout le lexique pour s’y retrouver tant on passe notre temps en fin d’ouvrage pour comprendre les mots que l’on croise.

Maintenant au niveau de l’histoire, j’avoue que je suis impatiente de lire la suite. Nous rencontrons des personnages principaux (la mère Jessica et son fils, Paul) qui ont l’air très intéressants. Ils ont des capacités hors du commun (même si on ne sait pas encore bien de quoi il s’agit) qui titillent la curiosité du lecteur. L’histoire se passe sur la planète Arrakis (aussi appelée Dune) qui se trouve être le seul endroit dans l’univers où se trouve l’épice. On découvre que Paul, un garçon de 15 ans, n’aurait pas du naitre de sexe masculin. Sa mère a fait une entorse à la loi en l’enfantant. Je n’en sais pas encore assez pour pouvoir dire quel sera son rôle dans le livre mais j’assume qu’il a des capacités exceptionnelles et qu’en réalité, cela tombe bien que sa mère n’ait pas enfantée une fille. Je ne vais pas résumé ce que j’ai lu en détails car j’ai des difficultés à rassembler mes pensées et les informations que j’ai lues à ce stade-ci de ma lecture. Ce qui est certain, c’est que l’univers de Frank Herbert est terriblement complet. On voit qu’il ne s’est pas lancé dans cet histoire soudainement, sur un coup de tête.

En résumé, disons que je ne suis pas encore bien rentrée dans l’histoire car j’ai du mal à visualiser le monde (trop) complet et détaillé de l’auteur mais j’ai hâte d’en lire plus pour comprendre l’histoire et savoir dans quelle quête s’engage Paul, notre héros.

Résumé du livre

Il n’y a pas, dans tout l’Empire, de planète plus inhospitalière que Dune. Partout des sables à perte de vue. Une seule richesse : l’épice de longue vie, née du désert, et que tout l’univers convoite. Quand Leto Atréides reçoit Dune en fief, il flaire le piège. Il aura besoin des guerriers Fremen qui, réfugiés au fond du désert, se sont adaptés à une vie très dure en préservant leur liberté, leurs coutumes et leur foi. Ils rêvent du prophète qui proclamera la guerre sainte et changera le cours de l’histoire.
Cependant les Révérendes Mères du Bene Gesserit poursuivent leur programme millénaire de sélection génétique ; elles veulent créer un homme qui concrétisera tous les dons latents de l’espèce. Le Messie des Fremen est-il déjà né dans l’Empire ?

Mes petites notes

(avec l'aide du lexique et d'Internet) 
  • Arrakis : Planète que l’on appelle aussi « Dune »
  • Jessica : mère de Paul et concubine du Duc Leto. Elle fait partie des Bene Gesserit. Elle n’aurait pas du donner un fils à Leto. Son rôle est d’engendrée une fille.
  • Paul Atréides : héros de l’histoire, fils de Jessica. Il est l’héritier de la maison des Atréides et à 15 ans lorsque le récit débute.
  • Fremen : libres tribus d’Arrakis, habitants du désert, survivants des Vagabonds Zensunni. Ils ont la particularité d’avoir les yeux entièrement bleus (sans blanc).
  • Bene Gesserit : faction de l’Imperium réservée aux étudiants de sexe féminin (à laquelle appartient Jessica) qui tente de mettre au point un programme génétique dont le but est de créer l’Être Suprême (= Kwisatz Haderach)
  • Kwisatz Haderach : l’inconnu que désignait les Bene Gesserit pour lequel elles cherchaient une solution génétique, le mâle B.G. dont les pouvoirs psychiques couvriraient l’espace et le temps.
  • L’épice ou mélange : Arrakis en constitue l’unique source. L’épice provoque une légère accoutumance et peu devenir dangereuse si on en consomme de trop. Elle serait la clé des pouvoirs prophétiques et des navigateurs de la Guilde.
  • Guilde : la guilde spatiale est un des trois éléments du tripode sur lequel repose la Grande Convention. Elle constitue la seconde école d’éducation psychophysique.
  • CHOM : Combinat des Honnêtes Ober Marchands

 Division du livre en sept parties

  • Partie 1 : du début à la p.105 « C’est Elle, murmura-t-elle. C’est bien Elle. La pauvre. » = Une première partie assez courte juste pour échanger nos toutes premières impressions.
  • Partie 2 : « Yueh ! Yueh ! Yueh ! dit le refrain » p.106 jusqu’à p.184 « Ce monde aussi peut être hideux. » = A peu près la moitié du Livre Premier.
  • Partie 3 : « Il n’est probablement pas de révélation plus terrible… » p.185 jusqu’à p.350 « Et les larmes roulèrent sur ses joues. » = Fin du Livre Premier.
  • Partie 4 : début Livre Second Muad’dib p.351 jusqu’à p.497 « Une puissance inestimable pour un Duc hors-la-loi ! » = A peu près la moitié du livre second.
  • Partie 5 : « Les Fremens avaient au degré suprême cette qualité… » p.498 jusqu’à p.620 « Toujours, dit-elle, et elle l’embrassa sur la joue. » = Fin du livre second.
  • Partie 6 : début Livre Troisième p.621 jusqu’à p.741 « Ainsi nous verrons bien si je suis le Kwisatz Haderach qui peut survivre à l’épreuve des Révérendes Mères. » = A peu près la moitié du troisième (et dernier !) livre.
  • Partie 7 : « Et l’on dit dans la troisième année de la Guerre du Désert… » p.742 jusqu’à p.826 « l’Histoire nous appellera : épouses. » = Fin du Livre Troisième et FIN du livre !

Etiquette lecture commune